La déferlante des étangs
à l'aplomb de notre paysage
s'étend la palpitation d'une rupture d'aile
de la chute croissante
la douleur solitaire éclot de ta fausse douceur
tu es la nuit qui me tend mon poids mort
l'inertie à mon front me dévoile la face
me dévoile ta face
et le regard se tord
se tourne sans se détourner
du chaos à vertige de toutes tes images
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